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Symbolisme du Sindour ou Koukoum

Le SINDOUR est cette raie rouge au milieu de la chevelure de la femme indienne. Depuis fort longtemps, le jeune époux avait comme coutume d'appliquer son sang à cet endroit comme preuve d'union et pour protéger sa santé. Cette marque doit être appliquée jusqu'au décès du mari. Elle représente le pouvoir et la bonne fortune, apportant longévité au mari. (le rouge est d'ailleurs la couleur du pouvoir et de l'énergie)
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photo : elishams.org

Cette tradition existe depuis plus de 5000 ans. Elle est traditionnellement offerte ou appliquée par les personnes Agées quand une femme visite leur maison. Quand les femmes mariées vont au temple, elle ne manquent pas de l'appliquer sur leur chevelure.
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Le SINDOUR aurait comme effet thérapeutique de diminuer la pression artérielle et serait un activateur sexuel (interdit aux veuves)

le TIKA est lui, la marque portée sur le front de l'engagement spirituel d'une personne.Constitué de traits horizontaux, elle se réfère à un adepte shivaïste. S'il s'agit de traits verticaux, on aura affaire à un vishnouiste - ou Krishnaiste.(incarnation de Vishnou).
Ce signe peut aussi être apposé sur un objet en signe de consécration.

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On appelle ce signe BINDU ou TILAK quand il se résume à un simple point entre les sourcils. Appliqué sur "l'Ajna chakra", il aurait pou effet d'activer son pouvoir : Sagesse et Connaissance.

Le rouge représente, l'énergie, la shakti ;le turméric jaune : l'intellect et la joie

Le SINDOUR est composé de curcuma sec (jaune) et d'un zeste de citron vert ou de gouttes de chaux (couleur rouge)

SHIVA


  • Par Shiva
  • Décembre 27th, 2008
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Le henné pour la beauté des femmes

Le HENNE est une plante qui pousse en climat chaud et sec du Maroc à l'Inde, en passant par l'Egypte, l'Iran et le Pakistan. L'Arbre mesure environ 3 mètres de haut. La feuille, séchée et réduite en poudre, est utilisée pour la peinture corporelle. Blanche, rose ou jaune, elle est petite et parfumée. Sa distillation est utilisée en cosmétique.
Le nom de MEHNDI est réservé à la poudre, à la pate et à la pratique du tatouage temporaire.
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Les Egyptiens coloraient de henné les ongles et les cheveux des momies. En Syrie, ce sont surtout les mains.
Le Henné était déjà utilisé au temps des Carthaginois, des Romains et des Juifs.

Les Musulmans développent surtout des entrelacs et des formes géométriques alors que les Hindous
représentent des motifs figuratifs, inspirés de la nature : oiseaux, mangues, fleurs, feuilles...

Pour sa préparation, on se sert de poudre de henné, de jus de citron, d'une demie cuillerée à café de sucre, d'huile essentielle de girofle, de camphre, de lavande ou d'eucalyptus.

SHIVA

  • Par Shiva
  • Décembre 27th, 2008
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Les 4 buts de la vie en Inde

LES QUATRE BUTS de la VIE en INDE

En INDE, la vie d’un homme est organisée en 4 grandes périodes avec des étapes et des responsabilités précises :

1e étape : le DHARMA : le DEVOIR, la VERTU, LA REALISATION DE SOI au plan moral
2e étape :ARTHA : les BIENS MATERIELS, la REUSSITE, le POUVOIR, la réalisation de soi au plan social

3e étape :KAMA : le PLAISIR, la SEXUALITE, la réalisation de soi au plan sensuel

e :MOKSHA :la LIBERATION, la réalisation de soi au plan spirituel

Pour l’Hindou, il existe 3 sortes de règles de comportement : générales, individuelles et de groupe/ Les règles générales sont aussi limitées que possible, l’Etat ne devant réglementer ni l’héritage, ni la vie affective de chacun ni les interdits alimentaires. Il s’agit donc simplement de règles de co-existence : courage, tolérance, humilité, honnêteté, propreté, contrôle de soi, compréhension, vérité et calme disent les « lois de Manu » Le « Mahabharata » ajoute : ne pas se mettre en colère, partager ce que l’on possède, pardonner, être compatissant, donner des enfants à sa femme, être honnête, nourrir ceux qui dépendent de vous, et ne pas nourrir d’inimitiés.

La 2e morale est la morale de groupe et de caste. Chaque groupe social, de par ses origines, sa nature et ses fonctions a des obligations différentes. Ce sont les vertus de chacun qui vont assurer la survie et l’indépendance du groupe et son insertion dans l’ensemble social. Il s’agit ici de se conformer aux règles du milieu social, de sa caste, de sa corporation. Le prêtre a la responsabilité des rites et de l’enseignement, le commerçant doit accumuler les richesses lui permettant de soutenir les temples comme de faire travailler et vivre l’ouvrier., le prince doit pratiquer les arts de la chasse et de la guerre, l’artisan, la profession familiale. Chacun s’il remplit son rôle réalisera une perfection de son être et sera utile à son groupe social.

Par exemple le brahmane se devra d’être studieux, désintéressé, maîtrisé, austère, propre, honnête, ayant le sens du devoir, sagesse et foi selon la « bhagavad Gita » et bien sur observer rigoureusement les règles de purification. Le guerrier, prince ou soldat a droit à la polygamie, à la bonne chère. Il doit défendre son pays au risque de sa vie et assumer la justice, être honnête et charitable. Le Vaishya doit nourrir les 2 castes supérieures et faire travailler les Shudras, travailleurs agricoles et artisans. Ces derniers devant faire preuve de patience, d’habileté manuelle et d’amour du travail. En tant que basses castes, ce sont les plus libres et décontractés des Hindous. La caste n’a par ailleurs rien à voir avec la fortune : il existe de très pauvres brahmanes comme des Shudras millionnaires…

La 3e morale est individuelle et laissée à l’initiative de chacun puisque chacun récoltera à terme les fruits de ses comportements, ce qu’on appelle le Karma.

La notion de pureté morale est essentielle d’où des règles alimentaires et vestimentaires et des ablutions fréquentes. Un manquement est une souillure grave. Il faut alors des pénitences et des purifications pour s’en laver. Quelqu’un qui prépare des aliments ne peut pas laver par terre ni enlever des excréments., ce qui semble une élémentaire mesure d’hygiène surtout sans désinfectants.

L’homme doit s’acquitter de 3 dettes : envers les Dieux, envers les ancêtres et envers les Sages. Des Dieux, il a reçu le monde, en retour il doit les vénérer et leur faire des offrandes. Des ancêtres, il a reçu le don de naissance, il doit dès lors vénérer leur mémoire et engendrer un fils qui puisse continuer la lignée. (Les filles passent lors de leur mariage dans une autre famille). Des Sages, il a reçu les préceptes de la Sagesse,

Il doit donc transmettre à son tour ce qu’il a reçu. C’est uniquement quand il a payé ses dettes que l’Hindou peut se consacrer à sa réalisation spirituelle.

La femme a la responsabilité des biens, de la maison, de la famille, de l’organisation du village.

Pour les Hindous, il ne peut y avoir d’égalité , là où il y a différences. Du point de vue ésotérique, c’est le féminin qui prime : le prêtre vénère la déesse, poètes et philosophes glorifient le principe féminin. Au niveau exotérique, de l’ordre social, c’est le contraire.

La femme est l’épouse et la mère (refuge suprême), le principe de vie. C’est en tant que mère qu’elle est divine et vénérée. Elle règne sur le monde intérieur comme l’homme règne sur le monde extérieur.

Les Brahmanes se marie tard, une fois ses études terminées. Il est strictement monogame

Et il lui est recommandé de ne pas trop se multiplier.

Guerriers et princes peuvent pratiquer la polygamie car guerres, accidents et luttes fratricides se chargent d’en réduire les effectifs.

Les riches commerçants et industriels veillent à ne pas trop se reproduire pour ne pas limiter et disperser leurs biens. Le problème démographique concerne principalement

Les castes artisanales, les plus nombreuses. C’est là que les règles de conduite sont les moins sévères.

La 2e étape de la vie :ARTHA :les biens matériels, la richesse, le pouvoir, la réalisation de soi au plan social.

L’acquisition de biens matériels est fondamentale car c’est elle dont dépendent tous les autres. Il est nécessaire d’acquérir connaissances, biens et situation sociale avant de s’occuper de sa vie spirituelle. Sans ceux-ci on ne peut ni accomplir ses devoirs ni réaliser ses désirs. Tous les plaisirs reposent sur la richesse : maisons, voitures, femme,nourriture etc… mais celle-ci doit avoir été acquise avec honnêteté. La base de l’organisation sociale est donc principalement économique. Le goût de l’argent et l’ambition ne doivent pas nous conduire à transgresser les règles du devoir.

Retenons toutefois que la richesse peut empoisonner les relations humaines ou être source de tentations. Si on veut jouir du bonheur en ce monde, les Puranas conseillent de diviser les biens en 5 parties : une part pour les bonnes oeuvres, une pour sa gloire, une pour des placements avantageux, une pour les plaisirs et une pour la famille et les personnes dépendantes.

18 passions nuisent à la richesse en particulier celles liées au plaisir : femmes, chasse, jeu, paresse, oisiveté méchanceté, drogues etc … mais aussi celles liées à la colère :

médisance, imprudence, fourberie, impatience, malveillance, injures et cruauté…


La 3e étape de la vie : KAMA : le PLAISIR, la SEXUALITE, la REALISATION DE SOI AU PLAN SENSUEL

Par plaisir il faut entendre la jouissance de tout ce que l’on désire, tout ce qui plait aux sens…

Toute création, invention sur le plan physique, comme intellectuel ou spirituel est le fruit du désir. Richesse et plaisir ne sont faciles que là où les circonstances sociales et économiques le permettent. D’où l’idée d’entraide, d’appui mutuel, de solidarité au sein de chaque caste.

Certaines formes de richesse et de plaisir peuvent être contraires au devoir. Ainsi la richesse sans partage ni charité ou au détriment d’autrui tout comme l’abus de plaisir contre-nature sont inconcevables pour un hindou sincère./ La modération est donc recommandée.

L’érotisme est un aspect essentiel de la réalisation de soi, d’ailleurs lié à la libération car l’Etre vit alors une première expérience de fusion. Pour les hindous, interdire la prostitution est immoral et antisocial car c’est refuser à certains des nôtres l’accès essentiel au 3e but de la vie.

La 4e étape de la vie :MOKSHA, la LIBERATION, la REALISATION DE SOI AU PLAN SPIRITUEL

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Nous libérer de la souffrance, de la mort et trouver le bonheur est le but de tous nos instincts, de tous nos efforts. Nous recherchons, joie, plaisir et bonheur. Le but suprême Est donc conçu comme l’expérience d’un bonheur absolu, d’une joie totale représentée comme l’union avec un être transcendant, par de-là les souffrances et la mort et cela de façon éternelle et permanente. Il s’agit d’échapper au jeu divin de la création pour réintégrer la personne divine, de passer de la dualité à l’Unité primordiale.

En fait, la libération est l’accomplissement final de l’homme qu’il doit réaliser tout seul souvent en conflit avec ce monde.

Les mystiques disent qu’il y a 4 degrés dans l’union de l’être individuel et de l’être universel : être dans le même lieu, être dans le même monde, être en présence de Dieu

Et enfin s’identifier à lui.

SHIVA

  • Par Shiva
  • Décembre 27th, 2008
  • Posté dans spiritualit, Philosophie hindoue
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A propos des castes en Inde

A PROPOS DES CASTES EN INDE


Le système hindou des castes est particulièrement difficile à comprendre pour les Occidentaux. On a cherché au système des castes des causes historiques, des justifications ethniques, des explications professionnelles et corporatives, des sanctions religieuses…Et certes dans tout cela, il y a un peu de vrai. De plus, Les hindous-qui y sont profondément attachés-sentent chez nous une hostilité encore plus grande que notre ignorance ce qui ne les encourage pas à nous en parler librement.

Dans son principe, le système indien des castes correspond à une division de la société en 4 castes :

1) les BRAHMANES chargés du devoir religieux, de la conservation et de la transmission des textes sacrés, de la culture de la science et de l’enseignement en général.

2) {color=blue]Les KSHATRIYAS[/color] chargés de défendre le droit et de protéger les faibles, auxquels

incombe l’emploi de la force quand c’est nécessaire. On y trouve les militaires mais aussi les souverains.

3) Les VAISHYAS, commerçants, agriculteurs, banquiers, tout ce qui concerne l’économie et l’argent

4) Les SHUDRAS, serviteurs, travailleurs agricoles et artisans



Aux 3 castes supérieures-interdépendantes- on remet entre 8 et 12 ans le cordon sacré.

Au dessus de ces 4 castes, ceux qui ont embrassé la vie monastique : les sannyasi ou renonçants. Au dessous ceux qui n’ont pas été jugés dignes d’en faire partie :[les parias-ou dalits- ou intouchables, exclus de leur caste pour s’être mélangés ou mariés avec une caste inférieure ou encore les mlecchas, les étrangers.



A chacune de ces castes ses devoirs propres : ainsi les brahmanes doivent manifester vérité, charité et pardon, bonne conduite, bienveillance et compassion tout particulièrement..

On est donc pas seulement brahmane de naissance mais parce qu’on est doté des qualités correspondantes. C’est ainsi que le Swami Vivekananda considérait les Européens comme kshatryas, et les Américains comme Vaishyas.


Toutefois, chez le BRAHMANE persiste aujourd’hui un grand orgueil de caste, une perpétuelle préoccupation de pureté, de non-souillure notamment dans les contacts corporels et l’alimentation. Les exigences de la vie ont pu obligé certains brahmanes à se lancer dans le commerce ou les affaires ou comme ouvriers agricoles dans les zones montagneuses. Ceci dit ils ont l’exclusivité de la prêtrise et de l’enseignement.



Le KSHATRIYA doit sans cesse lutter pour l’honneur. Il ne peut manquer à sa parole et n’a le droit de refuser aucun défi.. Il doit acquérir des richesses qu’il doit redistribuer avec libéralité. Il doit faire régner partout la justice.



Le VAISHYA doit accroître et gérer la richesse matérielle. Lui incombe l’Agriculture, l’Industrie, le Commerce, la Banque et la Charité.



Le SHUDRA a pour devoir de servir. Travailleur agricole ou artisan. C’est de cette caste que sont issus une bonne partie de nos engagés indiens réunionnais.. Ils constituent la majorité de la population indienne. Ils sont autorisés à manger certaines espèces de viande : mouton, chèvre, volailles. Ils ne doivent pas apprendre les Védas, mais seulement étudier les Puranas.




Le nom de famille est souvent révélateur de la caste tout comme la façon de s’habiller et les marques faites sur le corps. On devient paria ou intouchable pour s’être mélangé ou pire marié avec quelqu’un d’une autre caste et cette déchéance est transmise à tous les descendants.



Les INTOUCHABLES jouissent d’une bien plus grande liberté que les autres castes : ils peuvent manger de la viande, boire de l’alcool, ne pas se laver et aucune occupation ne leur est interdite. Pour ces raisons, par crainte d’un contact impur, le paria n’est pas autorisé à puiser de l’eau aux mêmes sources et puits que les hindous de caste, ne sont pas reçus chez eux, n’ont ils pas accès à la plupart des temples ni à leurs écoles. Ils ne se plaignent toutefois pas de leur sort car ils considèrent dans leur optique philosophique de « réincarnation » qu’ils

ont mérité cette naissance de par leur attitude et de leurs efforts dans leurs vies antérieures. De leurs actions dans leur vie actuelle dépendra leur prochaine incarnation.



Restent les MECCHAS, les étrangers et autres touristes mais aussi les tribus animistes de la forêt.



Les membres d’une même caste ont très souvent des professions proches : ainsi y a t’il des sous-castes de tisserands, de pêcheurs, de blanchisseurs et même de ramasseurs de noix de coco … Les castes ont plus une hiérarchie de devoirs à mettre en œuvre que de pouvoirs, droits et prérogatives. Ainsi est-on soumis à des règles d’autant plus strictes que l’on appartient à une caste plus haute.

Si un fils épouse une femme de condition inférieure, il perd sa caste mais si un père marie sa fille à un gendre de caste inférieure toute sa famille est rejeté de la caste. L’Hindou qui commet une infraction grave aux lois de sa caste est mis en jugement par une sorte de conseil des anciens qui peut le condamner à une amende, à une expiation voire à l’expulsion dans le pire des cas tel que se convertir à une autre religion, se marier hors de sa caste, épouser une veuve, jeter son cordon sacré, manger de la viande de porc ou de vache, commettre un inceste ou quitter la terre sacrée de l’Inde.

Ainsi l’arrivisme social ce fléau de l’Occident ne peut il exister en Inde. Un homme qui s’est enrichi ou distingué ne peut déserter sa famille et ses compagnons pour se faire admettre dans un milieu social différent. Il est irrémédiablement solidaire avec le groupe dans lequel il est né et ne peut en sortir que par la déchéance ou…lors d’une vie ultérieure. L’ambition sociale est débarrassée de son égoïsme, l’homme contribuant à élever le niveau social, culturel et financier de toute sa caste. De nombreux Sages se sont manifesté pour son maintien. Ainsi GANDHI:« le système des castes est inhérent à la nature humaine et l’Hindouisme en a seulement fait une Science. Il s’agit d’une saine répartition du travail d’après la naissance. Toutefois, la conception actuelle des castes est une perversion de l’original ». Cet attachement de l’Hindou- voire sa fierté d’appartenir à telle ou telle caste, même s’il est conscient qu’il faille en corriger les abus, doit inciter l’Occidental à une certaine circonspection voire même à un certain respect car dans notre Occident, il n’ y a guère d’institution sociale qui ait résisté à l’épreuve du temps avec autant de succès.



Je laisserai pour terminer la parole à l’abbé DUBOIS : « La division en castes est le chef d’œuvre de la législation indienne. Si les peuples de l’Inde ne sont jamais tombé dans un état de barbarie comme la plupart des autres nations et qu’elle a ainsi pu conserver et perfectionner : Arts, Sciences et Civilisation, c’est à la répartition en caste de sa population qu’elle le doit. »
SHIVA

  • Par Shiva
  • Décembre 27th, 2008
  • Posté dans Histoire
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